« J'ai quelquefois des vivants qui me donnent des insomnies »

L’Ombre miroir

Rattraper les songes

Amorgos

 

« Figé dans la toile seul tourne le soleil
Rampant sur Paris de ses rayons obliques
Dans le pli de porte se lit le ciel
Avant que le jour dans sa dernière ombre ne cède aux insomnies »

La Réconciliation

Nature morte au couteau bleu

Dreaming never felt so bad

La Cicatrice qu’on ne voit presque plus

Annabelle

Les Yeux de Mamos

Les Vaisseaux du coeur

La Consolation

 

«Sans sommeil la nuit retient son souffle
Qui sait les conséquences du secret
Peint à l’huile dans l’intimité Il peut s’étouffer dans le bois épais»

Après la porte

La Chambre rose

Procida II

 

« Déjà le pinceau masque le repentir
niché dans les contours du cauchemar
où les fantômes témoignent sans sourire
d’une lourde peine sans larme »

La Troisième ombre

La Fin

 

La Main refuge